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Armand Isnard est un acteur, réalisateur, scénariste et biographe. Il a tourné dans de nombreux films et téléfilms dont Gross Paris de Gilles Grangier en 1974 avant de réaliser des séries de documentaires sur la religion et la musique.
RDM Edition vous propose en format DVD une sélection des meilleurs documentaires musicaux et comédies musicales réalisés par Armand Isnard.
Georges Brassens - L'anticlérical modéré - DVD Edition
Georges Brassens, élevé pieusement dès l'âge de deux ans à l'école Saint Vincent de Sète, était un familier de l'évangile. Aussi, ne doit-on pas s'étonner de ce que les allusions à Dieu abondent sous la plume du poète. On peut pourtant s'interroger : Brassens était-il anticlérical ? Ce passionnant programme nous offre l'occasion d'évoquer à l'aide de témoignages, d'images d'archives et de séquences tournées sur les lieux mêmes où naquit, vécut et mourut "l'ours bien léché de la chanson" les très nombreuses vertus chrétiennes de l'immortel auteur du "Gorille" et de tant d'autres succès : l'amitié, la bonté, la générosité, l'indulgence, la tolérance, l'humilité, la fidélité et l'amour de son prochain. Une bien agréable façon de parcourir - cette fois, sous un angle original - l'oeuvre de Brassens.
Enfin la vie en images de celui qui restera à jamais dans le coeur des Français l'immortel auteur du Gorille, de la Mauvaise Réputation, du Parapluie, d'une Jolie Fleur, de l'Auvergnat, des Sabots d'Hélène ainsi que d'une quantité de chansons à succès. Comment ce timide fils d'un maçon Sétois est-il devenu une immense vedette qui est parvenue à marquer son époque, et la chanson française, de ses empreintes de "Gros ours" ? Ce passionnant programme, criant de vérité, de sincérité, bouleversant, retrace à l'aide de témoignages de ses proches et de ceux qui l'ont bien connu, d'extraits d'émissions, de photos d'archives et de séquences tournées en direct dans les lieux mêmes où naquit, vécut et mourut la vedette, le véritable parcours de Georges Brassens, de son enfance à cette rupture d'octobre 1981 où ses copains (vous savez, "les copains d'abord") l'accompagnèrent au "cimetière des pauvres" de Sète, sa ville natale. Ce jour-là, s'en allait pour toujours Georges Brassens qui, comme il le disait lui-même, savait qu'ayant accepté de vivre, il devait accepter de mourir.