Le sanctuaire de Notre-Dame du Laus a 300 ans. Un amphithéâtre large de 15 kilomètres, une vue exceptionnelle sur la chaîne des Alpes, un climat sec et ensoleillé. Tout pour plaire à celles et ceux qui souhaitent « venir à l'écart sur la montagne ». Ne parle-t-on pas, d'ailleurs, de « la grâce du Laus » ? « Haut lieu spirituel, lieu de source, de prière et de conversion », comme l'écrivit joliment le cardinal Robert Coffy, ancien évêque de Gap, le sanctuaire du Laus est vraiment le lieu « choisi » par la Vierge Marie qui apparaîtra à une petite bergère illettrée, Benoîte Rencurel... 600 fois en 54 ans. De 1664 à 1718. «
Le Laus, aime à dire le Père Bertrand Gournay, est né en mai 1664, de la rencontre d'une femme des Alpes avec la Vierge Marie. Depuis cette rencontre, des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants l'ont fréquenté. Beaucoup sont repartis guéris après leurs prières, d'autres ont ressenti une paix intense qui leur a permis de repartir plus forts, d'autres, enfin, ont découvert le bonheur de croire »... Tant il est vrai que l'espérance est au coeur du Laus.
Fréquenté par des pèlerins du monde entier, le sanctuaire du Laus est l'un des hauts lieux de la Réconciliation. « Un des ressorts les plus cachés et les plus puissants de l'histoire de l'Europe », a écrit Jean Guitton. Notre-Dame l'a promis : Le Laus durera jusqu'à la fin des temps car ici se rencontrent catholiques, autres chrétiens, représentants de toutes les religions, non-croyants, même. C'est la grâce de Notre-Dame qui place Le Laus dans les perspectives oecuméniques et interreligieuses du troisième millénaire. On ne vient pas à Notre-Dame du Laus, on y aboutit.
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